Jessica Roumeur est autrice, comédienne et metteuse en scène au sein de la compagnie La Divine Bouchère qu’elle a créée à Brest en 2015. Dès 2004, en parallèle de ses études de lettres modernes elle est comédienne au sein du Théâtre Morosoff à Brest. C’est dans les créations collectives de cette compagnie qu’elle se forme au jeu, à l’écriture de plateau et à la construction de décors jusqu’en 2009.
Après un Master 2 Management du Spectacle Vivant et un bref passage dans les bureaux de structures artistiques (Théâtre de l’Entresort, Cie A Petit Pas et Le Fourneau - Centre National des Arts de la rue à Brest), elle revient à la scène avec sa pièce Concerto pour salopes en viol mineur, créée en 2013 et qu'elle interprète aux côtés de trois comédiennes. Concerto… est la première production de la compagnie La Divine Bouchère. Elle est suivie par Lettre à Dr K., deuxième pièce de Jessica Roumeur sortie en 2018 et de Monique, es-tu là ? (sortie officielle en février 2024).
Jessica joue et écrit aussi pour d’autres compagnies : notamment pour les compagnies 13/10ème en Ut, Dérézo et Appoggiature. Elle collabore avec la plasticienne Marion Plumet sur des projets alliant l’écriture aux arts plastiques : entre 2014 et 2015 elles mènent une Correspondance textes-dessins et construisent actuellement une fiction sonore, Passer la nuit. Elle mène en parallèle des ateliers de pratiques artistiques auprès de différents publics : en milieu scolaire, dans des cercles de femmes pour Les Nouvelles oratrices et au sein d’une troupe soignant·e·s / soigné·e·s d’un hôpital psychiatrique.
Après un Master 2 Management du Spectacle Vivant et un bref passage dans les bureaux de structures artistiques (Théâtre de l’Entresort, Cie A Petit Pas et Le Fourneau - Centre National des Arts de la rue à Brest), elle revient à la scène avec sa pièce Concerto pour salopes en viol mineur, créée en 2013 et qu'elle interprète aux côtés de trois comédiennes. Concerto… est la première production de la compagnie La Divine Bouchère. Elle est suivie par Lettre à Dr K., deuxième pièce de Jessica Roumeur sortie en 2018 et de Monique, es-tu là ? (sortie officielle en février 2024).
Jessica joue et écrit aussi pour d’autres compagnies : notamment pour les compagnies 13/10ème en Ut, Dérézo et Appoggiature. Elle collabore avec la plasticienne Marion Plumet sur des projets alliant l’écriture aux arts plastiques : entre 2014 et 2015 elles mènent une Correspondance textes-dessins et construisent actuellement une fiction sonore, Passer la nuit. Elle mène en parallèle des ateliers de pratiques artistiques auprès de différents publics : en milieu scolaire, dans des cercles de femmes pour Les Nouvelles oratrices et au sein d’une troupe soignant·e·s / soigné·e·s d’un hôpital psychiatrique.
Elle intègre en 2004 le Théâtre Morosoff, compagnie professionnelle dirigée par Geoffroy Matthieu. Pendant 6 ans, elle construit les décors et des personnages notamment dans les spectacles déambulatoires 3, rue Henri Moreau et Coin de la rue Gallieni et dans les créations collectives Reflet et Les Voisines. Elle se forme à l’Ecole internationale de théâtre Lassaad à Bruxelles en 2010-2011. De retour à Brest, elle obtient un Master 2 Français Langue Étrangère. En 2013, Jessica Roumeur, rencontrée en Licence de Lettres Modernes et sur le plateau du Théâtre Morosoff, lui propose de jouer dans la pièce qu’elle a écrite, Concerto pour salopes en viol mineur. Elles se retrouvent en avril 2015 autour du projet de la compagnie La Divine Bouchère.
Louise participe à des projets participatifs proposés par le Groupenfonction dirigé par Arnaud Pirault depuis 2012 et à des stages organisés par l’École du Jeu à Paris durant l'année 2014-2015 auprès de Delphine Eliet, la directrice, Alexandre Del Perugia et Nabih Amaraoui. Elle participe à la première édition de Latroupéphémère de Leonor Canales Garcia, atelier de création théâtrale. Elle y rencontre Gabrielle Pichon qui l'invite à jouer dans son spectacle Poiscaille.
L’investissement corporel est une question primordiale pour Louise et elle trouve dans ces diverses formations des chemins pour laisser parler le corps, libérer la voix, créer du mouvement aussi bien physique que vocal. Elle suit dans ce sens des cours de danse contemporaine depuis 2014 et a intégré la classe de chant fin 2015 au Conservatoire à Rayonnement Régional de Brest. Elle y obtient en juin 2017 un CEM d’improvisation pluridisciplinaire (danse, théâtre et musique).
Après plusieurs années de théâtre amateur (depuis 1993), d'abord sous forme d'ateliers et stages puis au sein du Théâtre de l'Aurore, Véronique Hélies se professionnalise, tout d'abord en tant que « technicienne-scénographe-constructrice ». Elle travaille tout d'abord pour le Théâtre Morosoff (Coin de la rue Marengo, Dracula, 3, rue Henri Moreau, Choses Mortelles...). Elle y jouera aussi plusieurs créations (Reflet, Les Voisines...). En 2006, Charlie Windelschmidt (Compagnie Dérézo) lui propose d'intégrer en tant que comédienne l'équipe du Kabarê Flottant. Elle ré- embarquera à bords des pénettes en 2008. Depuis 2007, elle intervient pour Dérézo en tant que comédienne : L'Amour et la violence, Microfictions, Virthéa, Un trou dans la ville, Babel, Les Habitants et Kabarê solex en 2013, Balades sonores en 2014... Depuis 2006, elle intervient en milieu scolaire et participe à des activités de transmission : mise en voix de textes en collège, options facultatives et obligatoires du lycée de Châteaulin (seconde, première, terminale), transmission pour les usagers du CCAS. Pour le Théâtre du Grain, elle crée l'une des haltes artistiques de la TraversCité et intervient ponctuellement pour des actions de transmission. Elle ne chante pas et ne joue d'aucun instrument.
Anaïs s’est formée au Conservatoire d’art dramatique d’Angers pendant deux ans sous la direction de Yannick Renaud. Elle a ensuite intégré le cycle professionnel du conservatoire de Lyon sous la direction de Philippe Sire où elle a obtenu le Diplôme d’Etudes Théâtrales. En 2013, elle obtient le Diplôme Universitaire « Art, Danse et performance » à l’université de Besançon. Elle fait de nombreux stages et workshops tout au long de son parcours. Elle est actuellement élève en classe de chant lyrique au conservatoire de Brest et poursuit sa pratique de la danse. Anaïs travaille avec plusieurs compagnies brestoises : Le théâtre du Grain, la compagnie Dérézo (Kabarê Solex, Le Petit Déjeuner et La Plus Petite Fête Foraine du Monde), Les Yeux Creux, La Divine Bouchère, la compagnie Hiatus et Singe diésel. Elle participe régulièrement aux actions du Groupenfonction, compagnie belge. Elle a créé sa propre compagnie en 2015 dans laquelle elle s’inscrit en tant que performeuse et metteur en scène. La première création de la compagnie Anaïs Cloarec s’intitule Pourquoi nous ne sommes pas ensemble.Anaïs est également formatrice auprès de divers publics.
Après quelques années à user le dancefloor en tant que danseuse hip-hop, aujourd’hui, Maclarnaque assène des DJ sets hauts en groove en partageant sa passion pour la musique. Avec le duo Afrodite, elle ouvre son univers musical à la pop et au R&B. Chercheuse de disques et geek invétérée à la fois, elle aime faire découvrir des sonorités hip-hop, old school ou new school, qu’elle saupoudre au gré de ses envies d’épices funk, jazz, house, boumbap, créoles ou booty bass. Riche de ce melting pot musical, elle s’épanouit aussi bien sur scène (ex : Les Trans Musicales en 2014 et de nombreuses scènes auprès de rappeurs US ou français) que dans les battles de danse Hip-hop en tant que DJ.
Née en 1988 et originaire d’Aix en Provence, elle vit à Rennes depuis 2009. En parallèle de son Master en études théâtrales à l’Université Rennes 2, Delphine a construit son envie de mettre en scène par la rencontre, lors de stages longs, de metteurs en scène tels que Frédérique Minguant (compagnie 13/10ème en Ut) et Pierre Guillois (Le fils du grand réseau). Delphine a mis en scène L’Amour de Phèdre de Sarah Kane, Shopping and Fucking de Mark Ravenhill, Une puce épargnez-la de Naomi Wallace. En 2019 elle monte Blasted (Anénantis) de Sarah Kane qui jouera au Théâtre du Cercle à rennes sur la saison 18-19. Son travail s’axe notamment sur un théâtre de texte contemporain et sur la direction d’acteurs. En 2020,
elle décide de monter Fracassés de Kate Tempest et fait partie avec ce projet d’Itinéraires d’Artiste(s) avec les villes de Rennes, Brest, Nantes et Rouen. En Août 2020 elle rejoint Marine Bachelot Nguyen en tant qu’assitante à la mise en scène pour Akila - Le tissu d’Antigone.
elle décide de monter Fracassés de Kate Tempest et fait partie avec ce projet d’Itinéraires d’Artiste(s) avec les villes de Rennes, Brest, Nantes et Rouen. En Août 2020 elle rejoint Marine Bachelot Nguyen en tant qu’assitante à la mise en scène pour Akila - Le tissu d’Antigone.
C’est d’abord par le jeu théâtral que Camille Riquier explore le spectacle vivant. Elle participe à de nombreux ateliers autour du corps et du jeu masqué avant de se tourner vers la scénographie (Yoshi Oïda, Théâtre du Soleil, compagnie Dérézo). Elle obtient en 2007 une maîtrise d’Arts Plastiques à l’université Rennes 2 puis poursuit une formation à l’ENSA de Nantes et obtient un DPEA de scénographie en 2010 avec les félicitations du jury.Dans ses recherches, elle développe une dramaturgie de l’espace sensitif et de la métamorphose entre transition et circulation aux possibles troubles de la perception à travers la confrontation des
matériaux. Son activité professionnelle s’oriente vers les différents champs d’application de la scénographie. Ainsi, elle collabore à des projets variés dans le théâtre et la danse (Charlotte Lagrange, la compagnie Dérézo, Julie Berès, Declan Donnellan...), l’opéra (Dan Jemett), l’exposition (« Bêtes et hommes » à la grande halle de la Villette...). En 2010 elle crée l'association Lieux Dits Scénographies et réalise des projets artistiques à échelle variable dans l'espace public autourde problématiques sociales et politiques("Etat d'urgence", "La Désorientation", "Caravansérail"...).C’est dans le croisement de disciplines qu’elle trouve son expression poétique mêlant les arts plastiques et la scénographie autour de problématiques sociales et contextuelles.
matériaux. Son activité professionnelle s’oriente vers les différents champs d’application de la scénographie. Ainsi, elle collabore à des projets variés dans le théâtre et la danse (Charlotte Lagrange, la compagnie Dérézo, Julie Berès, Declan Donnellan...), l’opéra (Dan Jemett), l’exposition (« Bêtes et hommes » à la grande halle de la Villette...). En 2010 elle crée l'association Lieux Dits Scénographies et réalise des projets artistiques à échelle variable dans l'espace public autourde problématiques sociales et politiques("Etat d'urgence", "La Désorientation", "Caravansérail"...).C’est dans le croisement de disciplines qu’elle trouve son expression poétique mêlant les arts plastiques et la scénographie autour de problématiques sociales et contextuelles.
Sortie de STAFF en 2002, formée à la lumière, j’ai pris le parti de travailler sur des projets qui m’intéressent coûte que coûte (politiquement). Que ce soit du théâtre (avec les compagnies Extra Muros, Les Maladroits, Tombées des Nues, Mastoc Production, La Divine
Bouchère), de la rue (avec le groupe ZUR), de la musique (avec Lo’Jo, Zakouska, Mansfield.TYA), du jeune public (Hanoumat Cie, Armada Production) et de la danse (Olivia Grandville/ Mille Plateaux)... J’apprends toujours ! Je suis passée aussi en régie vidéo et lumière au Lieu Unique pendant 5 ans. Je me suis formée à la régie vidéo en 2011 au CFPTS. Cela m’a permis de rajouter d’autres compétences et savoirs afin d’expérimenter la lumière, que ce soit celle d’une source halogène, led ou vidéoprojection. J’aime bidouiller, trouver des solutions qui ne sont pas forcément les plus normées (et couteuses).
Bouchère), de la rue (avec le groupe ZUR), de la musique (avec Lo’Jo, Zakouska, Mansfield.TYA), du jeune public (Hanoumat Cie, Armada Production) et de la danse (Olivia Grandville/ Mille Plateaux)... J’apprends toujours ! Je suis passée aussi en régie vidéo et lumière au Lieu Unique pendant 5 ans. Je me suis formée à la régie vidéo en 2011 au CFPTS. Cela m’a permis de rajouter d’autres compétences et savoirs afin d’expérimenter la lumière, que ce soit celle d’une source halogène, led ou vidéoprojection. J’aime bidouiller, trouver des solutions qui ne sont pas forcément les plus normées (et couteuses).
Adeline Mazaud fait ses études à Rennes à ESRA dans la branche ISTS (Institut Supérieure des Techniques du Son) de 2008 à 2011. Son expérience à la Maison du théâtre de Brest commence en mars 2012 en tant qu’assistante technique Son. Elle évolue vite vers le poste de régisseuse principale où elle y apprend la lumière et découvre tout l’univers du théâtre breton et plus précisément brestois dont celui du Théâtre du Grain. Fin 2016, elle commence à travailler avec plusieurs compagnies brestoises, le Théâtre du Grain, La Rigole, In Ninstan, Nids Dhom et Lasko ainsi qu’avec une compagnie rennaise, le groupe Vertigo. Avec eux, elle occupe les postes
de régisseuse lumière ou régisseuse son ou régisseuse générale. À côté, elle travaille en régie générale ou technique avec différents festivals tel que le festival de RIAS à Quimperlé et d’autres événements organisés par Le Fourneau ainsi que le festival du Cinéma à Douarnenez.
de régisseuse lumière ou régisseuse son ou régisseuse générale. À côté, elle travaille en régie générale ou technique avec différents festivals tel que le festival de RIAS à Quimperlé et d’autres événements organisés par Le Fourneau ainsi que le festival du Cinéma à Douarnenez.